
Arpentage : « Pour l’abolition de l’enfance » de Shulamith Firestone

L’activité se pratique sous la responsabilité de chacun.
Les organisateur·ices du Citron Bleu sont tous·tes bénévoles et organisent ces événements sur leur temps libre.
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Le groupe d’activité des Arpent’heureuses (CEMEA et le citron bleu) et l’Espace Militant sur la domination Adulte vous proposent l’arpentage du livre : « Pour l’abolition de l’enfance » de Shulamith Firestone
Animé par Rémi
Participation : Gratuit.
L’atelier commencera par un apéro partagé pour celles et ceux qui le souhaite.
Accessibilité : Le lieu est accessible aux personnes PMR (toilettes compris).
Il y a des places de parking PMR proche du lieu d’accueil.
L’arrêt de tram est à 400m.
C’est un lieu calme ou il est possible de s’isoler.
Il n’y aura pas d’interprète LSF.
Pour toutes autres questions sur l’accessibilité, n’hésitez pas à nous contacter.
Qu’est-ce qu’un arpentage ?
L’arpentage est un outil d’éducation populaire qui invite un groupe de personnes à une lecture collective d’un ouvrage de sciences humaines. Chacun-e lit une partie du livre pour ensuite en faire une restitution au reste du groupe. Son but est de parvenir, en un temps limité, à “débroussailler” cet ouvrage en mettant en commun les connaissances, les idées et les intuitions des participant-es. Il n’est pas nécessaire de connaître l’ouvrage avant de l’arpenter, il est même préférable de ne pas l’avoir lu !
Petite vidéo explicative.
Le livre : « L’enfance est une invention récente.
Les caractéristiques qu’on lui attribue (innocence, vulnérabilité, dépendance, etc.) sont le produit d’une construction sociale. Les attentions spéciales, la « protection », le « respect » dont les enfants sont l’objet, ainsi que les institutions créées pour eux (l’école en particulier) servent avant tout à les tenir sous tutelle, à les priver de tout pouvoir sur leur vie, à les enfermer dans leur rôle, à les… infantiliser.
En réexhumant ce texte qui, pour la première fois sans doute, étendait aux enfants l’analyse des mécanismes de domination, nous espérons bien contribuer à donner des outils de lutte à tous ceux, toutes celles — et particulièrement aux mineur-es — qui jugent que la « condition de l’enfance » est inaceptable. »